le jeudi 11 août 2011
Un long travail d’équipe
M. Bertrand Tremblay, Vous comprendrez que j’ai été un peu surpris, lundi matin de constater que ce serait M. Paul Ruel à titre de président de l’Association de protection du lac Kénogami (APLK) qui ait mené à bien ce dossier (dans la foulée du suivi du déluge de 1996).
Je tiens à souligner le travail de Paul Ruel à titre de président du Comité provisoire du lac réservoir Kénogami (CPLRK), et à titre de président du comité de bassin du lac Kénogami et des rivières Chicoutimi et aux Sables (CBLK). Mais Paul n’a jamais été président de l’APLK, même s’il est un de ses directeurs. Je reconnais aussi le travail de Gilles Potvin, avec lequel j’ai oeuvré pendant de nombreuses années au CBLK, particulièrement pour l’entente de partenariat que nous avions conclu ensemble en 2007 pour forcer le début et mener à bien les travaux en cours actuellement.
Au début de 2006 et en 2007, j’ai entrepris une campagne de tous les jours pour forcer le gouvernement Charest à débuter les travaux (visant à sécuriser tout le secteur). J’y ai mis des centaines d’heures pour forcer les ministres des Ressources naturelles et du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs à annoncer et à débuter enfin, un jour ces travaux. J’ai une volumineuse correspondance en dossier à cet effet.
Comité
J’ai formé le comité de suivi du creusage de la rivière aux Sables en août 2007 avec le support du député alors nouvellement élu, Sylvain Gaudreault, dans le comté de Jonquère, le représentant municipal Paul-Roger Cantin et aussi, et surtout, l’appui de Paul Ruel.
Mais c’est une autre initiative que j’ai concoctée seul pour forcer la main au gouvernement, car, je dois me répéter, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune ne voulait pas faire le creusage du seuil de la rivière aux Sables et donc tous les travaux de sécurisation ne pouvaient débuter.
Et comme le CBLK était incapable de faire progresser ce dossier majeur pour la sécurité de la population en aval, j’ai pris le taureau par les cornes pour qu’on puisse enfin débuter d’autres dossiers majeurs pour la préservation du lac Kénogami.
Je n’ai cependant jamais réussi à intéresser le représentant de Laterrière, Luc Blackburn, au dossier malgré de nombreux essais. Pourtant, son aide aurait pu ajouter du poids dans la balance au moment opportun.
Claude Collard
Ingénieur
Président de l’APLK